du 5 au 11 mai

Semaine du 5 au 13 mai :

TELEVISION:

       ¤¤  Rolando Villazón, un rêve mexicain (Allemagne, Mexique, docu. 2006, 53mn) : samedi 5 à 22h35  (ARTE)

        ¤¤  Rolando Villazón, une soirée à Berlin (2005, 43mn) : dimanche 6 à 19h  (ARTE)

Chef : Marco Zambelli - Südwestdeutsche Philharmonie.

Rolando Villazón interprète des airs de Verdi, Puccini et Donizetti, des zarzuelas espagnoles et latino-américaines.

        ¤¤  L'Heure espagnole de Ravel : dans la nuit de dimanche à lundi vers 3h30  (TF1)

        ¤¤  Manon de Massenet (Berlin, 2007) : mercredi 9 à 20h15  (ARTE)

Metteur en scène: Vincent Paterson - Chef d'orchestre: Daniel Barenboim
Anna Netrebko (Manon Lescaut), Rolando Villazon (Chevalier Des Grieux), Christof Fischesser (Le comte des Grieux), Alfredo Daza (Lescaut, cousin de Manon)

En simultané sur FM

RADIO:

        ¤¤  Louise de G. Charpentier (ONP, avril 07) : samedi 5 à 19h10  (FM)

Mireille Delunsch : Louise; Jane Henschel : La Mère; Marie-Paule Dotti : Irma; Natacha Constantin : Camille; Anne Salvan : Gertrude; Paul Groves : Julien; José Van Dam : Le Père; Luca Lombardo : Un Noctambule, le Pape des fous; François Bidault : Un Chiffonier
Choeur et Orchestre de l'Opéra de Paris - Direction : Sylvain Cambreling

        ¤¤  Histoires de musiques: Mme Bovary assiste à une représentation de Lucia di Lammermoor : dimanche 6 à 16h  (FM)

Concert (Berlin, 1955) : à 17h

Callas, di Stefano, Panerai... Dir.: Karajan

        ¤¤  Concert G. Gabrieli (Festival d'Utrecht, sept. 06) : lundi 7 à 15h02  (FM)

Choeur de Chambre de Namur - La Fenice - Direction : Jean Tubéry

        ¤¤  Daphné de M. da Gagliano (Radio France, avril 07) : lundi 7 à 20h  (FM)

Fuoco e Cenere - Chef : J. Bernfeld
Guillemette Laurens : Vénus; Chantal Santon : Daphné; Mathieu Abelli : Apollon; Daphné Touchais : Amour

        ¤¤  Transcriptions (Pleyel, mars 07) : lundi à 21h  (Radio Classique)

B. Engerer - Les Monts de Reuil - Choeur de chambre Accentus - Dir.: L. Equilbey

Schubert; Mahler; Schoenberg; Wagner; Vivaldi; Scriabine; Prokofiev; Ravel

        ¤¤  A portée de mots : Jérôme Deschamps : mardi 8 à 12h07  (FM)

       ¤¤  Concert (Festival d'Utrecht, août 06) : mardi 8 à 15h02  (FM)

Maria-Cristina Kiehr : soprano; Sylvie Moquet : viole de Gambe; Angélique Mauillon : harpe; Direction, clavecin et orgue : Jean-Marc Aymes

Strozzi - Assandra - Bassani - Mayone - Leonarda - Anonyme (Toccata arpeggiata, tirée du "Manuscrit Chigi") - Caccini - Frescobaldi - Rossi- Sances

        ¤¤  Manon de Massenet : mercredi 9 à 20h15  (FM)
voir plus haut "Télévision"

        ¤¤  Concert (Festival d'Utrecht, sept. 06) : jeudi 10 à 15h02  (FM)

Francesca Cassinari : soprano; Giuseppe Maletto : ténor; Raffaele Giordani : ténor; Daniele Carnovich : basse
La Venexiana - Direction : Claudio Cavina

C. G. da Venosa - Luzzaschi - Nenna - Marenzio- G de Macque

        ¤¤  L'humeur vagabonde : Barbara Hendricks : jeudi 10 à 20h30  (France Inter)

pour son CD Schumann.

        ¤¤  La règle du je: A comme "Accent" : vendredi 11 à 13h03  (FM)

Dire au Grand Siècle.

        ¤¤  Concert Monteverdi, Haendel, Rameau (cité de la musique, mars 07) : vendredi 11 à 15h02  (FM)

Les Solistes du Jardin des voix - Les Arts Florissants - Direction : William Christie

Comments

[Caroline]

Eh bien, voilà! On sait enfin pourquoi Violetta regrette tant sa petite table!... cependant la découverte du poteau métallique lui aura peut-être apporté quelque consolation.

[Bajazet]

Comment ?! L'Heure espagnole n'est pas avec Villazon ?
Mais c'est un scandale !


Pour Mme Bovary, c'est un peu bête de prendre la version Karajan comme illustration, alors que Flaubert suit de très près la version française, mais bon…

« La voix de la chanteuse ne lui semblait être que le retentissement de sa conscience, et cette illusion qui la charmait quelque chose même de sa vie. Mais personne sur la terre ne l'avait aimée d'un pareil amour. Il ne pleurait pas comme Edgar, le dernier soir, au clair de lune, lorsqu'ils se disaient : «À demain ; à demain !...» […] Mais ce bonheur-là, sans doute, était un mensonge imaginé pour le désespoir de tout désir. Elle connaissait à présent la petitesse des passions que l'art exagérait. »